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Vélo de course Axxome 350 Shimano Ultegra

Vélo de course Axxome 350 Shimano Ultegra
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"ERBP 2017 ça c'est de l'ultra ! Merci BERTRANDS !
Bon je me lance. Mon premier résumé de ma grande aventure du weekend du 7 et 8 juillet 2017.
Tout d'abord présentation rapide de l'épreuve concoctée par la Famille Ride Bike11. ERBP déjà ça promet EXTREME, on peut le dire, RIDE ça oui on a roulé BIKE et à vélo pour la plus grande partie PYRENEES et là on a vu qu'il y avait beaucoup mais beaucoup de cols. En chiffre c'est 567 kms à mon compteur avec 29 cols et un peu plus de 12 000 de D+.
Je vais essayer de vous faire ressentir ce que j'ai vécu pendant ses 40 h sur les 46 autorisées dont prés de 33 heures roulées. C'est 12 h de plus que le premier mais j'ai fini !!!!!
Je vous propose de découper mon récit en 4 parties
- la nuit du samedi 7 juillet
- un enchaînement infernal pour la journée du Samedi
- la nuit complète dans la montagne seul !!!!!
- il faut réussir à finir !
J'espère réussir à vous faire un peu ressentir toutes les émotions par lesquelles on passe pendant ces raids et qui font que beaucoup d'entre vous nous prennent pour de fous !! Bon ce n’est pas faux non plus il faut l'être quand même !
1) La nuit du Samedi 7 juillet
Alors le départ : le moment où une seule et grande question te tarabuste en permanence : Ai je tout pris ? N’ai je rien oublié ? moment en plein milieu de la nuit pour nous 2h du matin samedi 7 juillet au milieu de la place d'entrée de la cité de Carcassonne ; superbe comme lieu pour démarrer un périple ! On est plus ou moins tendu mais ambiance assez feutrée où chaque mot a une portée importante. Avec ces petits moments particuliers et là c'est Urbain qui crève avant de partir et Bertrand qui se presse de l'aider à réparer !!!
Bertrand continuera à animer ce départ par un décompte des dernières secondes avec Jean qui est resté debout pour nous prendre en photo ; C'est vraiment un groupe d'organisateurs tout dévoué à notre bien être , je pense que je les remercierai souvent au cours du récit mais ce ne sera pas encore suffisant au vue de ce qu'ils ont tous fait !
On part tranquillement de Carcassonne en groupe pendant une petite dizaine de kilomètres , quand Paul décide de rouler à son rythme qui n'est pas du tout le mien. Aussitôt 2 groupes se forment avec devant Paul , Pascal, Cyrille et très vite rejoint par Urbain . A partir de là 2 raids différents se feront car on ne les reverra jamais d'ailleurs Cyrille finira premier est arrivé 12 heures avant moi. Pour dire la différence de niveau entre nous !
Les 86 premier kms se font à un rythme assez soutenu où Jacques me répète régulièrement , on part trop vite qui ira au bout ? Et il avait raison d'ailleurs très très grand merci à lui de m'avoir aider avec une telle expérience il connaît bien ce genre de raid et sans sa méfiance jamais non jamais je n'aurais terminé.
La première nuit est déjà terminée , il est près de 6h quand on attaque la première vraie difficulté. Cette nuit s'est donc passée assez tranquillement, par contre elle était très chaude avec une atmosphère que je qualifierai de tropicale car l' humidité ressentie était très importante .J'ai du boire beaucoup pour compenser ma sueur importante.
2) un enchainement infernal pour la journée du Samedi
Voilà la première vraie difficulté le col de Roquejalère le premier des 7 cols classé HC par notre organisateur , c'est près de 30 kms de montée pas très difficile mais qu'il faut prendre très cool car il ne faut surtout ne pas y laisser de force . Ce premier col marque le début des montées descentes difficiles qui s'enchaîneront jusqu'au 500 ème kms soit pour moi 36 H d'effort soutenu sans aucune période de roulage.
S'enchaîneront le col de Jau (HC) 22 km à 5% , col de Garavel 6.4 km à 6.5 % et le col de Pailhères c'est 17 kms à 7% de moyenne; Dans ce col on en a profité pour croiser et surtout pour se faire doubler par les premier d'un Iron man , sympa de discuter quelques secondes avec le second qui m'encourage. Je lui demande où il en est , il me dit à 104 , je fais ouf mais il me rétorque non non c'est pas fini après c'est la course à pied ( 42.5 kms après les 200 bornes de vélo) j'ai encore mes chances et il ré accélère. Une dizaine de kms plus loin il est arrêté sur le côté avec une voiture entrain de se ravitailler. Il me redoublera quelques kms après en me laissant punaise grosse hypo j'ai du m'arrêter ..... Bon maintenant le haut du col , c'est l'enfer de bourrasque de vent à plus de 100 km/h la progression est plus que difficile. Je dois me tenir au milieu de la route pour ne pas être jeté dans les bas côtés. Les voitures derrière moi attendent sans rien dire , très sympas car je suis à 5 km/h , mais j'ai trop peur de tomber. J'arrive enfin en haut et je rejoins Bertrand, Robert, Stan et Thierry qui sont cachés derrière un petit bâtiment pour s'équiper pour la descente. On est frigorifié, j'essai e de faire au plus vite mais je tremble de partout. Je repars et quand j'essaie de chausser mes pédales une grosse bourrasque m'écrase au sol punaise ça fait mal, je ne m'y attendais pas ! Une voiture s'arrête , je lui dis non c'est bon c'est juste le vent, j'attaque la descente au ralenti et tout tremblant !
Puis on continue à enchainer les cols sous une petite pluie fine qui rend les descentes très difficile et dangereuse. On essai e de ne pas prendre de risque mais on roule déjà trop vite dans le début de la descente du col de Jau, un de mes coéquipier, Baptiste, est touché par une voiture qui l'envoie dans le ravin et ne s'arrête même pas . J'espère dans mon fort intérieur qu'elle ne l'a pas vu sinon ....... En tout cas clavicule cassé et poignet opérés à Carcassonne dès le Dimanche il va bien . Je ne le saurai que lors de l’arrêt au premier ravito, gargantuesque, où il est caché sous une couverture en attendant l’arrivée des pompiers. Son vélo avec la roue complètement pliée à côté de lui, ça fait
vraiment mal au coeur ! Quelques Kms plus loin c'est un autre qui chute en dérapant sur les graviers dans un virage, Stan sera évacué à l'hôpital pour quelques blessures superficiel mais cette chute plombe vraiment l'ambiance et nous fait très fortement ralentir, il était temps. Nous ne sommes donc plus que 5 dans ce second groupe pour continuer ce défi. Dans cette partie on a donc enchaîné le col de Pradet 6 km à 8.2% , col des 7 frères 7.2 à 5.5 % et col de Marmare 12.6 à 0.5 %. Dans la descente du col de Pradet, on aura le droit à un autre super ravito concocté par des amis de Bertrand. c'était très marrant d'arriver dans un hameau et de voir une table mise sous un hangar avec plusieurs personnes sous des K-way avec un appareil photo qui te mitraillent quand tu arrives et qui se précipitent pour te proposer une multitude de produits dont des PATES : MAGIQUE !!!
On arrive sur Tarascon sur Ariège il est près de 19 h00. On roule déjà depuis 19h . Jacques veut absolument s'arrêter boire un coca, moi je ne suis pas trop bien car tout ce que j'ai avalé depuis ce matin s'accumule dans les intestins et demande à partir !!!!! Mais on ne rentre pas du tout dans Tarascon et l'arrêt espéré recule. On demande à Bertrand s' il connaît un petit bar pour boire un coup, il dit oui dans quelques petit kms il y a un bar sympa avant d'attaquer le port de Leers . Mais que ces 2 ou 3 kms sont longs très longs, Jacques bougonne derrière et manque de jus. Moi j'attends avec impatience l’arrêt. ses 2 kms sont en réalité 11 km pour enfin voir ce bar mais il est fermé et en travaux : DECEPTION . Bertrand et Thierry se précipitent dans une boucherie épicerie. Moi je réfléchis pour trouver une solution à mon problème mais je ne vois pas. Jacques arrive et me dit qu’il avance dans le village pour trouver un resto car il veut manger des pâtes. Pour moi toujours pas de solution. Bertrand me dit de demander au bar car il y a du monde qui y travaille. Et là c’est la LIBERATION !!!!!!! Quand je ressors( au moins 1/4 h plus tard haha ha), Jacques est aussi dans la boucherie donc pas de resto. Je rentre me servir aussi et commence à manger mais pour une fois sans grand appétit, je n’arrive même pas à boire mon coca et manger ma pomme (sacrilège).
Une petite demi-heure plus tard alors que Bertrand dit je ne tarde pas trop, Jacques annonce qu’il va couper quelques cols car il ne se sent pas bien. Je dis donc à Bertrand que je pars avec lui car mon binôme me lâche mais que je ne remercierai jamais assez de m’avoir cadré depuis le départ. Je pense qu’il n’a pas encore récupéré du BTR. Thierry lui ne dit rien mais ne repartira pas non plus pour faire le tour complet. Je fais donc le plein de mes gourdes et dis à Bertrand que j’avance un peu car il était en train de régler quelque chose sur son GPS. Mais je voulais juste démarrer doucement car on attaquait le port de Lers avec 14 kms à 5.8% suivi du col d’Agnes avec 5 kms à 6.3 %. Donc pour la digestion un démarrage au ralenti était indispensable. Cela a été une très grosse faute car Bertrand a pris plus de 0’ pour son réglage et dans la moitié du port de Lers il a abandonné. Je pense vraiment qu’avec moi il aurait continué et il faut que cela me serve de leçon : NE PAS LAISSER UN POTE SEUL DANS UN TEL DEFI !!!! DESOLE
3) la nuit complète dans la montagne seul !!!!!
Bon à partir de là, la fin du défi se fera seul soit à peu près 22 h, 260 bornes et 5 000 de D+ : pas mal !!!!
La nuit arrivera dans la montée du col de l’Attrape avec ses 4.2 kms à 7.7 ( c’est du sérieux). Bertrand m'avait dit que Jean était au km 350; Je scrute donc mon GPS en attendant avec impatience. Au km 350 je passe Seix mais personne !!! Je continue mais vraiment pas confiant, ai je raté JEAN ?????? Je commence donc le col mais je suis de plus en plus convaincu que je l'ai raté. Je me dit punaise toute
la nuit avec seulement un petit coupe vent été ça va être vraiment dur. Mais en haut du col complètement noir à 50 m des feux de détresse s'allument : YOUPI c'est Jean !!! J’arriverai donc au dropping bag vers 1h en haut du col de Cathaudégué 7.4 à 5%. Je retrouve donc Jean avec son camion , sa femme y dort à l'intérieur et aussi Robert que je rattrape enfin. D'ailleurs lui aussi abandonnera en se réveillant et en sachant que je suis passé et qu'il est le dernier. En plus les orages ont démarré et il a eu peur de faire seul toute la nuit Jean m'apprendra aussi l'abandon de Jacques , de Thierry et surtout de Bertrand et un sentiment de culpabilité m'envahit .. A cet arrêt j'en profite pour changer de tenue et quel bien ça fait d'avoir un maillot et un cuissard sec. De plus je prends une demi saison et mes jambières car la pluie menace. je me ravitaille aussi avec jean qui me propose plein de choses, sa femme se réveille et vient me faire un petit coucou, ils sont vraiment trop sympas car toute une nuit au milieu de la montagne c'est vraiment génial pour nous, on pourrait se croire importants ha haha ! assez rapidement je repars car la fatigue n'est pas encore là et en vérifiant mon timing pendant que j'écris ce récit , je n'avais que 3 h d décalage avec mes prévisions; mais c'est loin d'être fini .....
Je pars pour franchir le col de Saraillé avec 7.4 kms à 4.1 %. Mais après quelques centaines de mètres ma lampe se coupe net, je freine en urgence et n'ai pas le temps de déclencher mes cales paf au sol !!! Après je franchis aussi le col de Portet avec 11.8 à 7.1 % et de Port 5kms à 5.5%. Dans ses cols je n'ai que quelques souvenirs assez abstraits . Le début avec la traversée du village est un mur !!! Après la fatigue me prend et je me retrouve une première fois à zigzaguer dans la fin montée du col mais je ne peux pas m'arrêter , il n'y a rien et il pleut. Il faut donc que je finisse la montée et la descente. Je tombe une première fois en faisant un écart plus important. puis j'arrive à trouver un premier arrêt de bus , je m'allonge et dors aussitôt , je pense 20 minutes. Je repars et quelques minutes après dans le col qui suit soit les 7 frères 7.2 kms à 5.5% ou col de port 5kms à 5.5 % . Je retombe une seconde fois toujours en attrapant un bas côté dans la montée. Et je m'arrête dans un hameau dans un second arrêt de bus. Je serai passé par un état que je n'ai jamais vécu , bizarre car peu de souvenirs nets , des hallucinations avec des choses qui apparaissent et disparaissent . De quoi est on capable dans ces défis ?
4) il faut réussir à finir !
Après cet épisode très flou , j'arrive vers 7.5 h à Tarascon et j'ai perdu 5h sur ma feuille de route. Je vois une grosse boulangerie et je prends comme petit déjeuner un grand café, un énorme pain bagnat poulet kébab et un flan. Maintenant arrive le souci de mon GPS. Je n'ai plus depuis bien longtemps de téléphone , de chargeur et il me reste 10ù d'autonomie sur mon GPS; Je décide de chercher un chargeur dans Tarascon; Je trouve tout d'abord un super U qui va bientôt ouvrir j'attends mais rien. Après plusieurs échecs dans différents commerces, je quitte, déçu, Tarascon. Résigné à finir sans enregistrer ma trace. j'essai e de me rassurer en me disant que Bertrand sera flexible et qu'il homologuera quand même mon parcours. Mais peu importe je continue.
Après quelques kms, j'aperçois un nouveau commerce et à nouveau je m'arrête ,je vais bien y arriver. Ce commerçant sera génial, il n'a pas de chargeur mais me propose de charger mon GPS, pour maintenant, le temps ne compte plus , il faut arriver et VALIDER. J'accepte donc sa proposition et lui dis j'attends un peu 1/2 h et un chargement à 50 % devrait déjà bien m'avancer. Mais le chargement n'avance pas après plus d'1.5h je n'ai que 30 % . J'ai mangé du fromage de brebis: un régal et il n'y a que pendant de tel défi que je m'accorde de manger du fromage alors j'en profite haha ! Je passe
aussi par ses toilettes , et oui encore !!! En tout cas je le remercie pour sa patience et sa gentillesse , j'ai passé un super moment à discuter avec lui et plusieurs de ses clients qui me regardaient assez bizarrement
Je repars donc, il est déjà 11h j'ai 7.5 h de retard mais peu importe; Je crois toujours que Robert va me rattraper car je n'apprendrai que, beaucoup plus tard, il a abandonné. Et pour moi c'est impossible, il prépare la RAM dans moins d' un mois.
Les cols reprennent, tout d'abord par le col de la Lauze 13.2 kms à 3.6 % ma progression est de plus en plus lente. La fin va être longue et personne ne sait où j'en suis. je décide de trouver quelqu'un pour passer un coup de fil. Mais, à qui ? Avec ces téléphones on ne connaît plus les numéros par coeur. Après un gros effort de réflexion, le numéro de portable de ma femme me revient .Je croise un petit groupe au pied du col de la Montségur 6.4 kms à 5.6%. Je compose tout d'abord un mauvais numéro mais le second est le bon. Je la rassure et lui dis que je n'arriverai pas avant 17h . Dans mes prévisions c'était entre 9h et 12h j'en suis loin !!!!! Je lui demande de rassurer aussi Bertrand par face book. La montée de Montségur est un calvaire pour moi. De moins en moins de force et il reste 90 kms et plus de 2 000 de D+ (soit 4 col du vent : les copains comprendront); Je me motive en me disant : allez, après ,la descente est roulante enfin car je connais ce col. Arrivé à la bascule un panneau gravillon, bon allez encore un peu de gravillons la descente ne sera pas si simple et c'est peu dire. Ce fut un enfer, un couche de gravillons sur les 14 kms de descente de plusieurs cm en plus. Je passe les lacets à l'arrêt. les forts % à 10 km/h , j'ai mal au bras , aux mains, des crampes, c'est du n'importe quoi !!!!!!
Ensuite, je repars pour l'ascension d'un nouveau col, Les bordes 6.4 kms à 2.3% . C'est rien mais là c'est un enfer. Quelques voitures me croisent et un pickup noir me klaxonne. Tiens ils sont sympas ils m'encouragent ça change. Habituellement ils me doublent, klaxonnent et m'insultent plutôt. Mais je continue comme je peux mon ascension en scrutant la charge de mon GPS , il reste 7% quand vais je devoir l'éteindre pour ne pas perdre ma trace , là je serai vert ! J'entends une voiture qui arrive derrière et qui ralentit bon tiens bizarre , il n'y a personne en face. Il se met en feux de détresse , c'est le pick up, et je reconnais les neveux de Bertrand :HO que ça fait du bien. Ils me doublent et s'arrêtent. Ils me demandent des nouvelles, me proposent de me suivre un peu. Je leur demande aussitôt si ça ne les gêne pas de recharger mon GPS! Non bien sûr on va te suivre: Je suis sauvé ! De ce fait, j'ai retrouvé du jus, bon, pas plus vite certainement, mais je finis le col comme pour rire. Et ça fait pro , une voiture me suit en feux de détresse et me guide en hurlant à gauche, à droite au prochain ...... et bien oui j'ai plus mon GPS, il prend la trace dans la voiture. je gravis donc le col de la Flotte 5kms à 4%; C'est magique les jambes tournent , je n'ai plus mal. En bas du col dans la traversée du village, les jeunes me proposent de manger. Ils connaissent un petit resto. On demande le menu, bon juste des frites saucisses. ça me dit rien des frites , il reste 50 bornes , je suis pas encore arrivé et 2 cols. Jusqu'au bout Bertrand en a mis, c'est pas possible on a fait tous les cols de la région ha haha . Après une courte discussion on négocie un sandwich , saucisse, salade et un coca. Bien sûr, je le paie aux jeunes, ils m'ont sauvé, NON ?
Assez rapidement, je repars avec mon GPS, cette fois chargé à 40% , c'est nickel, ça ira. Je laisse ma voiture suiveuse rentrer directement et je gravis , bon pas aussi facilement que ça car cela fait mal mais c'est la fin . le col de Monthaut 5kms à 3.2% ( Ha je pensais plutôt du 8% ha haha) et le dernier Malpére 9.8 km punaise que c'est long à 2.3% non c'est pas possible !!! Il reste 20 kms de profil
descendant alors là je profite, je savoure , je me repasse le film..... Arrivée à 18h09 , 12 après le premier et 11h après mon horaire prévu ( ambitieux !) mais HEUREUX
En conclusion, bien sûr, je vais le redire mais je ne sais vraiment pas comment le qualifier alors simplement : MERCI A VOUS TOUS.Et un petit coucou à Val qui m'a aidé en me suivant comme elle pouvait à distance et en corrigeant ce compte rendu. Egalement un petit mot pour mon vélo un ORIGINE 350 , une merveille , confort et réactivité surtout en danseuse où son rendement est magique. Depuis Dimanche ( on est mercredi) ,je suis sur un nuage merci les endorphines ! J'espère que ça vous plaira autant qu'à moi de l'avoir écrit , c'est le premier compte rendu que je fais mais j'en avais vraiment besoin. A bientôt.
PHILIPPE"
14/07/2017
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